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14 novembre 2014 5 14 /11 /novembre /2014 12:37

Lettre à Kamel Daoud

 

Cher Kamel,

 

Il s’en est fallu d’un cheveu pour que tu décroches le Goncourt, le prix le plus prestigieux de la littérature française. J’espère que tu n’en conçois pas une amertume excessive. Cet « échec » ne le mérite pas.

Bien peu de gens pourraient donner une liste de noms d’écrivains ayant obtenu le Goncourt. La plupart d’entre eux sont retournés à l’oubli. C’est dire si cette distinction doit être relativisée. Pour ma part, j’ai retenu celui de Tahar Ben Jelloun, peut-être parce qu’il continue de sévir dans le jury qui attribue le prix en question. Je me rappelle avoir tenté, sans succès, de lire le livre qui lui a valu la récompense. C’était « La nuit sacrée ». Il m’est tombé des mains à plusieurs reprises. Je l’ai rattrapé souvent puis je l’ai laissé définitivement choir au bout d’une dizaine d’essais infructueux. Trop mal écrit!

Mais qu’est-ce qui lui a valu cette récompense? Certainement pas son style ni sa syntaxe approximative ! Peut-être a-t-il obtenu la juste rétribution de ses efforts pour entrer dans la peau du Marocain idéal, celui qui exhale un petit parfum d’exotisme, qui a la délicatesse de ne jamais évoquer les « vicissitudes » de la colonisation, qui dénonce les travers de sa société mais qui épargne prudemment  le roi, tellement prisé par la France des riads et du tourisme sexuel. C’est aussi l’homme qui désarme le raciste qui sommeille au fond de l’âme de l’ami condescendant et qui arriverait presque à toucher le cœur du raciste primaire par ses efforts obstinés pour lui ressembler. Songez donc : pour dénoncer le racisme, il utilise les mêmes accents que ses amis « de souche » ! En fait, il s’insurge, non pas contre la haine de l’Arabe mais contre celle qui prend pour cible un Arabe qui se voudrait français !

Dans la catégorie de Ben Jelloun, il y en a bien d’autres, des écrivains algériens, tunisiens, marocains, dont l’œuvre tout entière est tendue vers la quête du Graal littéraire, qu’il prenne la forme du Goncourt, du Renaudot, voire du Nobel ! Certains ne résistent pas à exprimer à haute voix leur amertume et leur incompréhension d’avoir été « oubliés ». Leurs amis attentifs font en sorte que leur soit décerné un prix de consolation, une sorte de médaille en chocolat. Dans leur tension vers la conquête de ce qu’ils croient être une consécration, ils vont de plus en plus loin. Sansal, après le courageux « Serment des barbares », s’est engagé dans une longue dérive dans laquelle il décrit un mouvement de libération nazifié, et finit par regretter la période coloniale en expliquant que l’état du peuple d’Algérie aujourd’hui est bien pire que ce qu’il était sous l’occupation française ! Inutile de dire à quel point ce discours est bien accueilli en France et la reconnaissance qu’il lui vaut auprès de cette tranche de l’opinion française, vaguement rongée par un sentiment de culpabilité et qui se réveille innocente ipso facto ! Sansal a lui aussi bénéficié de quelques prix de consolation. Il n’a pas accédé au titre suprême. C’est qu’il faut quand même un peu de talent littéraire en plus de celui de collaborateur zélé !

Kamel, tu es d’une autre étoffe. Tu as une belle plume, inventive, insouciante des effets de mode. Tu es un vrai écrivain, en ce sens que tu n’es tendu que vers l’expression de toi-même et que ta quête d’une sorte de vérité ne saurait se confondre avec celle d’un prix décerné par un aréopage français, on ne peut plus éloigné de la réalité de ton pays.

En fait, il y a eu une espèce de malentendu qui a régné tout au long de la montée vers la finale du concours. Tu as sans doute été perçu en France comme un possible Sansal qui aurait du talent, et qui se serait donné la mission subliminale de réhabiliter a posteriori la colonisation à travers une réalgérianisation de Camus, ou plutôt une « camusation » de l’Algérie qui frapperait d’illégitimité l’Algérie indépendante. A travers précisément l’œuvre de négation de l’Algérie indépendante qu’ils ont cru déceler dans ton parcours, notamment à travers tes billets quotidiens, le jury du Goncourt a peut-être cru voir une entreprise de réhabilitation de l’Algérie de Camus, celle où les bons sentiments de l’écrivain philosophe devaient constituer un viatique suffisant pour faire oublier au peuple algérien ses aspirations à l’indépendance. Je ne crois pas au complot mais à la tyrannie de l’inconscient. Les membres du jury n’échappent pas à l’emprise de l’inconscient collectif français qui considère que l’Algérie a été dérobée à la France et non rendue à elle-même. Surtout, encore une fois, ils ne connaissent rien de l’Algérie réelle ni du sport favori des Algériens qui consiste à s’auto flageller en permanence, une tendance nourrie par la haine de soi qui les caractérise. Beaucoup de gens prennent cette tendance au premier degré et en tirent des conclusions fautives. En réalité, ce regard âpre que nous promenons sur nous-mêmes est celui d’écorchés vifs paradoxalement silencieux et immobiles en dépit du bruit et de l’agitation de nos rues. Ce bruit sert de paravent à nos blessures secrètes, celles d’avoir perdu des millions des nôtres durant la période de la colonisation et la guerre de libération, des centaines de milliers du fait du terrorisme durant la décennie noire, victimes mangées par l’oubli. Blessure aussi de n’avoir même pas pu fêter bien longtemps l’avènement de l’indépendance puisque des pouvoirs dictatoriaux nous ont immédiatement intimé le silence…

Alors, nous nous adonnons tous, ou presque, à ce jeu de massacre qui consiste à nous dépeindre sous les traits de barbares sales et paresseux. Il y avait initialement de la tendresse qui transparaissait tout de même mais cette tendresse s’est évanouie à mesure de la montée des désespoirs et de l’absence de perspectives. Nous riions au début des portraits que nous faisions de nous-mêmes à travers ceux de nos compatriotes. Il y avait quelque chose qui atténuait la cruauté des traits, quelque chose qui s’appelle l’empathie. C’est cela qui a disparu, ou presque. En tout cas, on a de plus en plus de mal à la discerner dans les écrits, les caricatures… L’absence d’empathie creuse un fossé qui va grandissant entre les producteurs de ces portraits, écrivains, intellectuels… et notre peuple. Le résultat est que la dénonciation de ses tares, dénonciation factuellement pertinente mais dépourvue de bienveillance et rarement assortie de propositions de sortie par le haut, conduit au résultat inverse, c’est-à-dire à la pérennisation, voire l’aggravation desdites tares. Ta prose est une parfaite illustration de cette tendance. J’ai souvent trouvé sa vigueur féroce bienvenue. Et puis, au fil du temps, à mesure que s’éloignait la perspective d’un changement dans notre pays, le voile d’amitié silencieuse qui en atténuait les aspérités s’est progressivement déchiré. Il n’avait sans doute pas disparu mais tu ne le convoquais plus parce que l’amertume, parce que le désespoir…  La lecture du billet quotidien devenait de plus en plus douloureuse pour un grand nombre d’Algériens. Sa fonction de stimulation que ton billet remplissait s’était atténuée pour devenir un aliment de plus à la sinistrose nationale. Parallèlement, la cote de cette littérature journalière montait en France. La sortie de ton livre a fait événement, une sorte de retour de Camus. Le thème, mais aussi les qualités d’écriture en ont fait le candidat le plus sérieux au Goncourt. « Ils » croyaient tenir l’ « arabe » tant recherché, celui qui a intégré la doxa occidentale et qui s’est défait de cet être culturel  qu’« Ils » honnissent. Sans doute s’appuyaient-« Ils » en particulier sur deux éléments qui ont fait florès sous ta plume. Il y a eu d’abord la mise entre guillemets du mot « arabe » (le monde dit « arabe » par exemple). Il y a eu également une mini-série sur la Palestine, au moment de l’agression israélienne sur Gaza.

Le rejet de la dimension arabe de l’Algérie a été aussi mal perçu au pays qu’il t’a valu de regain de faveur en France.  Revoilà l’inconscient collectif français presque en pâmoison devant la confirmation de l’effacement (l’assassinat) de l’Arabe, (sans guillemets dans l’Etranger). Camus, après en avoir fait un élément récurrent du décor, le tue. Kamel Daoud le supprime. Je t’entends d’ici te récrier. Oui, tu as voulu au contraire le rendre au monde, cet Arabe évanescent, mais tu l’amputes, pas dans le roman, mais dans ta littérature quotidienne, de cette dimension. Il y a une sorte de jouissance morbide à s’évertuer à gommer de la personnalité algérienne tout ce qui fait société, tout ce qui est de l’ordre du partage. Que je sache, l’Arabe était la langue principale de communication et d’échange dans l’Algérie précoloniale, y compris dans les centaines de zaouïas de Kabylie ! On peut remonter jusqu’à l’un des plus illustres natifs d’Algérie, le berbère Tarek Ibn Zyad, qui apostrophait ses guerriers en arabe ! Mais pourquoi diable cette fixation sur ce pan de notre culture qui nous a donné le chaâbi, le melhoun, Kaki ou Alloula ? Peut-être qu’il y a malentendu. J’entends pour ma part que l’on est arabe, non par le sang, mais par l’usage de la langue, que nous avons en partage avec Ibn Rochd, Ibn Sina, Ibn Khaldoun. Le chaâbi, précisément, doit ses lettres de noblesse à des chanteurs qui pouvaient être originaires de régions arabophone ou berbérophones, qui pouvaient être musulmans ou juifs ! Je crois au contraire que nous devons réhabiliter cette langue, la refaire vivre et qu’elle soit un élément fort de la cohésion de notre société ! C’est la langue, maison de l’être, dieu dans la chair incarné, qui prémunit les sociétés contre la tentation du glissement vers la plus mauvaise part d’elle-même. Ces mêmes personnalités de France qui se retiennent d’applaudir à chaque fois que, du monde arabophone, monte une voix qui ostracise la langue arabe, ne sont pas  les dernières à monter une garde ferme contre tout ce qui serait de nature à remettre en cause ou à dégrader la qualité de la langue française… Là aussi, il a sans doute un malentendu. Tu n’appelles pas à la disparition de la langue arabe, enfin je ne le crois pas. Mais tes écrits les plus récents peuvent donner cette impression et faire de toi, volens nolens, tu as pu susciter l’espoir de voir en toi un nouveau soldat de l’Empire préposé à la destruction des cultures autres qu’occidentales du monde, pour faire des sociétés concernées des groupes épars, des communautés de hasard, voués à échanger les richesses naturelles dont la Nature les a dotés contre des biens périssables.

La Palestine…

Il y eu, je crois, trois billets parus dans le Quotidien d’Oran, au moment même de l’agression israélienne sur Gaza. Tu y tournais en dérision la « solidarité » (les guillemets sont de toi) avec la Palestine. Evidemment, il fallait les lire au second degré. Ce n’était pas la solidarité avec la Palestine que tu moquais mais les lâchetés, les hypocrisies, qui se sont exprimées sous couvert de cette solidarité, notamment dans le monde arabe. Mais des piques mal venues parsemaient ces textes, tel ce passage où tu accusais les gens qui se déclaraient proches des Palestiniens d’être en réalité des antisémites. Cette même accusation est très régulièrement brandie, notamment par les dirigeants du CRIF en France, ce CRIF qui est en réalité une ambassade israélienne. Est-il besoin de le souligner ? Cette accusation n’est pas seulement infamante. Elle est fausse pour l’écrasante majorité des gens qui marchent, distribuent des tracts, boycottent les produits israéliens. Je suis personnellement investi en France dans la bataille pour la reconnaissance des droits des Palestiniens, dans différentes associations. Mon expérience la plus marquante a été la participation à la fondation et aux travaux du Tribunal Russell sur la Palestine. J’ai rencontré beaucoup de monde, des citoyens anonymes aussi bien que des ambassadeurs, d’anciens ministres, des stars, comme Roger Waters, des écrivains comme Alice Walker (la couleur pourpre), des activistes mythiques comme Angela Davis, des prix Nobel de la Paix comme Maired Maguirre, des personnalités palestiniennes comme Leïla Shahid, Raji Sourani, Marie-Claude El Hamchari, veuve du délégué de l’OLP Mohamed El Hamchari, assassiné par le Mossad à Paris… Il y a eu aussi des juifs rescapés du ghetto de Varsovie comme le psychiatre Stanislaw Tomkiewicz, ou revenue des camps de concentration comme Eva Tischauer. J’ai connu tout cela dans la compagnie de la haute figure de Stéphane Hessel… Il n’y a jamais eu, au grand jamais, le moindre soupçon de quelque forme de racisme que ce soit durant les très nombreuses journées de travail que nous organisions. Alors, laisse, s’il te plaît, ces accusations au CRIF et à ses affidés de la Ligue de Défense Juive ! Quand des gens marchent au nom d’une cause dont tu te déclares toi-même solidaire, accorde-leur un préjugé favorable plutôt que de chercher un mobile inavouable à leur engagement.

Le mythe de la caverne est un récit allégorique de Platon. Il commence par la description d’une caverne dans laquelle des prisonniers enchaînés tournent le dos à l’entrée ouverte à la lumière. Derrière les prisonniers, un sentier escarpé sur lequel vont et viennent des hommes portant des statuettes. Derrière le sentier brûle un feu. Les prisonniers, nos semblables, ne pouvant tourner la tête, ne voient pas la lumière du feu mais seulement les ombres qu’il projette sur la paroi de la caverne, ombres qu’ils jugent seules porteuses de réalité, constitutives avec la prison du monde sensible, celui auquel nous accédons par nos sens. L’extérieur de la caverne figure le monde des idées. Un jour, un des prisonniers est conduit à la lumière du jour. C’est ce que Platon appelle la dialectique ascendante. Après une phase d’aveuglement dû à l’intensité de la lumière, il voit les objets naturels. Il sera par la suite heureux de cette connaissance et ne voudra pas retourner en esclavage. Si par amour pour ses semblables, il retourne quand même dans la caverne (dialectique descendante), il n’y distinguera d’abord que peu de choses, ses yeux s’étant habitués à la lumière. Puis, il expliquera à ses anciens compagnons l’erreur qu’ils commettent à prendre pour réalité ce qui n’est qu’illusion. Selon Platon, ses compagnons le prendront peut-être pour un fou et lui feront subir le sort de Socrate en le condamnant à mort. Peut-être peut-on envisager un sort plus heureux pour tel de nos penseurs ou de nos écrivains qui ferait cette démarche ?

Gadamer, philosophe allemand, élève de Heidegger, démontre que « le plus grand préjugé des Lumières,  c’est le préjugé contre les préjugés et que l’explicitation du préjugé peut mener à un plus grand niveau de compréhension ». C’est dans ce sens, ajoute-t-il, que « le préjugé peut être vu de façon positive ». Notre inconscient collectif est peuplé de préjugés. Ce sont eux qui nous paralysent, qui désarment toute tentative d’innovation. Ce sont eux qui nous dictent notre comportement moutonnier, notre conformisme en matière d’accoutrement… Plutôt que de nous contenter de les dénoncer de manière récurrente, interrogeons-les, cherchons-y un sens. C’est le moyen de nous en affranchir. La caverne de Platon, c’est nous. La dialectique ascendante, nous devons la réaliser à partir de nous-mêmes, nous élever au-dessus de notre condition actuelle pour accéder à la vérité des idées. Mais nous ne pouvons le faire seuls. Nous sommes lestés de trop de liens, trop de poids. Nous avons besoin de l’aide d’autres nous-mêmes, qui nous ressemblent, que notre sort intéresse, et qui ont fait l’expérience de la sortie vers la lumière. Mais, pour ce faire, encore faut-il aller vers eux, les connaître, ou plutôt les Reconnaître, refaire avec eux la route difficile vers la connaissance. Il nous faut rompre avec la tentation de la dissolution de notre être et revenir au contraire vers ce qui nous fonde et que nous ne voulons plus voir. Nous avons à reconstruire notre destin, à prendre à notre compte nos mémoires, notre imaginaire, plutôt que d’adhérer à un universalisme décharné qui s’est construit sans nous, voire contre nous depuis des siècles.

Descendons dans la caverne, Kamel, retournons auprès des nôtres. Refaisons avec eux l’ascension du chemin escarpé vers la plus haute des libertés, celle de l’esprit. Nous aurons en retour le prix inestimable de la reconnaissance de notre peuple. Pour moi sûrement, pour toi, je crois, elle nous est plus précieuse et plus utile que celle d’un groupe d’écrivains ou assimilés, réunis une fois l’an pour désigner un ou une lauréat(e), tout en essayant de se rappeler, à proximité de l’heure du déjeuner, si c’est l’année du gibier à poils ou du gibier à plumes.

Je te souhaite, je nous souhaite le meilleur et que ce meilleur soit aussi le meilleur pour notre pays, l’Algérie…

 

Brahim Senouci

 

 

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commentaires

J
Long et beau texte d'un style exquis et fait de douceur. L'analyse est fort pertinente et les mots font mouche. Cela tranche avec la dureté de ton analyse des gens de l'AURDIP dans la video sur Youtube ou là, aveuglé par je ne sais quelle querelle personnelle tu n'accordes aucun bénéfice du doute à tes interlocuteurs pourtant alliés de fait. J'ai par contre énormément apprécié ton dernier article du 29 janvier dans le Quotidien d'Oran ou tu étais co-author sur la problématique linguistique en Algérie, quoique tu as, à mon gout, évité soigneusement de conclure...<br /> Merci bien.<br /> J.M.
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A
les incroyants, je les tourmenterai terriblement (ou je les punirai d'un châtiment cruel) en cette vie et dans l'autre et ils seront sans recours. (la famille imran 49 ou 56) sadaq Allah Al adim. le pseudo écrivain Kamel David est un ould ahram laïc sur le modéle de la laïcité satanique Franco-sioniste? la laïcité veut dire liberté de conscience, mais en algerie la laïcité est une machine de guerre contre l'Islam. pour la laïcité aoudoubillah? les laïcs sont des athées ennemis de Dieu, il ne sont pas hypocrites car certes ils ne voient pas que la religion (Al dyin rentre dans les affaires des gens mais ils voient que la religion c'est pour l'acte d'adoration dans les mosquées seulement quand aux affaires politiques et les affaires liées aux transactions, ils disent que ceci est pour les gens, ils se comportent dedans sans la législation (islamique) sans rien, ils se comportent en fonction de leur intérêts , de leurs désire (corruption, vol,trafficotage...) ceci est une mécréance envers Allah et une destitution (Azoun du livre d'Allah aza wa jall) et la sounah de son méssager sala Allah alayhi wa Salam, de la vie et ceci est une mécréance et de l'athéisme (ilhad et ils sont pire que les hypocrites, les hypocrites manifestent l'Islam, ils prient, ils jeunent on leur fait confiance sur base de leurs apparences mais leurs secrets n'est connu que Allah, quand a ceux-là ils déclaré la mécréance, ils ont distituée la législation d'Allah dans l'application des affaires des gens et transactions et ceci une mécréance claire (koufr as-sahih) exposée clairement, ce n'est pas de l'hypocrisie, l'hypocrisie c'est de manifester une chose et de cacher son opposé, ceux-là ne cachent rien, ils déclarent ouvertement et ils sont pires que les hypocrites. N'a'am.
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D
J'ai trouve tres interessant ta lettre a K. Daoud. En effet, il y a lieu de conseiller ce jeune ecrivain en lui demandant de lire ce que la langue arabe a donne comme Grandes Oeuvres. Quant a la religion que penser d'un S. Rouchdi quand un Algerien s'attaque a l'une des religios de son peuple. Que K. Daoud n'oublie pasque ce qui est dangereux pour un ecrivain, ''un chroniqueur' ''ses ecrits restent. Qu'il relise ses chroniques pour s'en rendre compte.
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A
Bism Allah er-rahman er-rahim. au nom de Dieu le miséricordeur, le miséricordieux. seul l''insolent, le sans honneur, le sans pudeur, l'enfant de père inconnu, d'origine douteuse et de mœurs dégénérés, le corrompu compromis jusqu'a la moelle peut avoir le courage d'agresser cette langue noble et etendre le saint coran (Al qor'an al adim) au prophète sidna Muhammad Al Mustapha (sala alihi sa Salem), a l'Islam, ses insinuations désobligeantes uniquement pour meubler ses pensées démoniaques au départ pernicieuses d'arguments imaginaires et mensongère leur opinion dénuée de toute signification et qui n'est appuyée d'aucune évidence scientifique, sociologique, historique, linguistique. Que la malédiction soit sur les hypocrites et les menteurs. Cordialement
A
ce kafer pseudo écrivain ennemi d'Allah est dans le fond identique l'athéisme est le secret mignon dissimulé sous ses chroniques politiques et sociales qui affichent une défiance de l'autorité, la révolte contre Allah le tout-puissant et le motif qui fournit a cet mécréants l'audace de s'attaquer a l'Islam, aux musulmans, a la langue noble arabe, a la civilisation arabe, aux valeurs sacrés partagées par un milliard d'habitants de la planète, tout en occupant un créneaux littéraire qui rapporte gros au vu de la publicité qui lui réserve la nébuleuse Franco-sioniste des médias et de l'information fascistes, sa production littéraire pue le cynisme qu'elle dégage, mépris des conventions sociales, de l'opinion publique, des idées reçues, il attaque avec virulence la langue arabe et toutes les valeurs qui lui sont attachées, profanes ou sacrées. Un sujet que son ignorance lui interdit d'aborder en tant que francophone religieusement francophone. (peau noire, masques blancs. Frantz Fanons). le félon Kamel Daoud, le jongleur l'alphabet, est sont mépris des règles de déontologie une fraude dont la principale fonction est de crotter n'importe au vu et au su des gens sans parler attention ni aux bonnes manières , ni au respect des coutumes qui font partout dans le monde force de loi? Aucune progression honorable, et certainement pas au journalisme d'ou il se réclame ni a la littérature, ce mécréants ne peut prétendre appartenir ses comportements actives publiques, politiques des organisations criminelles des ONG (objet volant non identifié(OVNI) toutes ses fréquentations sont sionistes, nostalgiques pervers de l'Algérie de papa Rodriguez ses associations criminelles sous couvert humanitaire ONG. ses apprentis écrivains apprentis philosophes... poussent comme des champignons, et la perfidie Franco-sioniste les arrose. Ces traitres écrivains comme Wonder la pile qui ne s'use que si l'on sert. Cordialement.
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R
Kamel Daoud, en cherchant la gloire, il a glissé pour se trouver éveiller chez Ruquier.Il a besoin d'une cure dans un centre spécialisé.
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A
Ce mécréant pseudo écrivain ennemi d'Allah, ennemi de l'Islam et de la patrie, est le reflet de ces élites maghrébins francophones et franchisées a outrance qui ont remplacés l'ancien colonisateur français. Un tel méprise affiché pour son peuple, pour la langue arabe, pour la culture, pour sa religion ne peut être que le fait d'un colonisé de l'intérieur? Il serait pour ces pseudos écrivains néo-harkis de ce d'économiser? car la colonisation n'est pas seulement politique, elle est aussi culturelle (el ghazw et-taqafi). Kamel David fait partie avec les autres pseudos intellectuels francophiles bougnouls de service que les médias extrémistes aux allures fascistes Franco-sioniste adorent inviter pour donner leur avis sur n'importe quel sujet, mais leur sujet préféré reste la dénonciation de l'Islam bien sur sous couvert de l'intégrisme, au nom de la laïcité satanique franco-racismo-fascismo-impérialismo-sionisto-franco. il faut dire que dans ce genre (cirage pompe) et je dis exactement ce qui va faire plaisir aux néo-colonialistes le mécréants Kamel David est passé maitre? Aller Ya Kamel David, encore quelques efforts et quelques tribunes publiées a la gloire de tes maitres Bhl, Zemmour...ect des Franco-sioniste de la mission sauvage civilatrice de ta mère patrie FAFA, je suis sur que vous aurez votre vivement dimanche chez ton maitre Bhl. prenez une langue et jetez la dans la rue elle deviendra vivante enfermez-la dans un livre et un temple, elle meurt et tue les gens autour d'Éole, prenez un langue, ajoutez lui une armée et un pouvoir, elle devient une langue officielle ajoutez une religion ou un prophète, elle devient langue sacré. Mao. Cordialement